Un magnat du textile indien s’offre une chemisette en or de 4 kilos

CHIC – Il assure que c’est très confortable à porter…

Rangez les gourmettes en or et les Rolex, le roi du bling-bling est indien et il a réalisé le rêve de tous les frimeurs du monde: Pankaj Parakh, magnat du textile dans son pays, s’est tout simplement fait fabriquer une chemisette en or,rapporte le Hindustan Times. C’est à l’occasion de son 45e anniversaire ce vendredi que Pankaj Parakh s’est fait ce cadeau de 4 kilos qu’il ne peut arborer qu’entouré de gardes du corps.

CHIC – Il assure que c’est très confortable à porter…

Rangez les gourmettes en or et les Rolex, le roi du bling-bling est indien et il a réalisé le rêve de tous les frimeurs du monde: Pankaj Parakh, magnat du textile dans son pays, s’est tout simplement fait fabriquer une chemisette en or,rapporte le Hindustan Times. C’est à l’occasion de son 45e anniversaire ce vendredi que Pankaj Parakh s’est fait ce cadeau de 4 kilos qu’il ne peut arborer qu’entouré de gardes du corps.


Voir la vidéo originale par ici.

«Je voulais porter quelque chose de spécial pour aller remercier les dieux de mon succès au temple hindou de Siddhivinayak, à Mumbai», a expliqué le millionnaire. Cette chemisette, qui risque d’éblouir un peu le dieu éléphant, a coûté près de 160.000 euros. De toute façon, Pankaj Parakh affirme ne jamais sortir «sans deux ou trois kilos de bijoux en or» sur lui. «J’ai toujours été fasciné par l’or, depuis l’âge de cinq ans, se justifie-t-il. Au fil du temps, cet intérêt est devenu une véritable passion. Il était donc logique que je veuille quelque chose en or pour mes 45 ans.»

Très facile à porter, du moment qu’on est armé

Il a fallu 3.200 heures de travail de 20 artisans pour fabriquer ce vêtement. Exclusivement composée d’or de 18 ou 22 carats, la chemisette a été dûment «enregistrée dans les comptes de ma société», affirme Pankaj Parakh. Non content d’être honnête avec le fisc, Pankaj Parakh se targue aussi d’être doté d’un certain sens pratique: «La chemisette peut facilement être nettoyée et pendue pour le séchage, comme un vêtement normal. Si elle est déchirée ou abîmée, elle peut être rapidement réparée.» Et en plus, elle est très facile à porter, que l’on déambule dans les rues d’un petit village indien ou que l’on se rende dans les temples hindous, assure-t-il: «Je reconnais qu’il faut être courageux pour porter une chemisette de la sorte. Courageux et aussi en possession d’une arme comme mon revolver que je porte à chaque fois que je sors.» Faute d’être modeste, Pankaj Parakh a gardé un certain sens de l’humour.

20minutes.fr

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