Selon la victime, Fatoumata Camara, vendeuse d’Atièké, l’origine du feu n’est pas encore connue : « Je ne sais pas comment cet incendie est survenu parce qu’il n’y a ni électricité, ni bougie allumée dans ma maison », a-t-elle souligné.
Cet autre incendie relance la question de sapeurs pompiers dans la cité de l’alumine qui, jusqu’à la fermeture de l’usine était assurée par un service spécialisé de l’unité industrielle de Fria.
De fria, Alhassane Sidibé pour Guineematin.com