Abdoulaye Sylla a expliqué à Guineematin.com que beaucoup de supporters du syli avaient prévenu le détenteur de la grenade, surnommé « L’ISLAM », de ne pas entrer avec cette arme dans le maquis.
Malheureusement, médecins et responsables ont refusé de se prêter à nos questions, au contraire, ils ont interrompu notre conversation avec la victime et nous ont intimé de sortir de l’hôpital, à défaut d’une autorisation particulière de la directrice générale de l’hôpital Donka. Or, à la direction de l’hôpital, aucun service n’est ouvert la nuit. « Revenez demain et adressez-vous à la directrice avant de parler à un malade ici… », nous intimeront finalement les médecins rencontrés aux urgences. Hadja Fatou Sékhé Camara aurait ainsi verrouillé la communication à Donka…
De retour du CHU Donka, Yacine Sylla pour Guineematin.com