Sans aucun round d’observation, les 22 joueurs, parfois tête dans le guidon, tenteront de prendre le meilleur sans jamais parvenir à violer la cage des deux gardiens de buts. Même si on n’a pas assisté à l’ouverture du score, on peut se satisfaire du niveau technique de la rencontre et du volume du jeu produit. Ce qui peut nous emmener à conclure, du moins pour la première période, à une égalité d’efforts fournis et un manque de réalisations concrètes.
Le match retour est prévu le 3 avril prochain à Alger ; le Horoya est condamné à être plus adroit s’il veut espérer une qualification. Car, les algériens seront à domicile dans leurs installations et devant leur public avec un climat plus favorable. Toutes choses qui condamnent le club guinéen à savoir voyager. Un stage de préparation et d’acclimatation est prévu au Maroc. Ce qui prouve que les dirigeants du Horoya sont bien conscients de l’importance de ce match et des correctifs à apporter à la manière de jouer de l’équipe.
Amadou Diouldé Diallo à Bamako pour Guineematin.com