Sidya Touré a indiqué que la source des ces violences réside dans le fait que le pouvoir ait refusé d’organiser les élections et un dialogue sincère depuis 2011. « Avec l’arrivée d’Alpha Condé en 2010, on n’avait pensé qu’il allait y avoir de l’apaisement, mais cela n’a pas été le cas ». Il a dénoncé la répression des militants de l’opposition et l’usage des balles réelles par les forces de l’ordre. Un autre fait dénoncé par le N° 1 de l’UFR, c’est le cas des contres manifestants protégés par des policiers et gendarmes. « Il y a une violence garantie par le pouvoir en place », a-t-il fustigé.
Enfin, Mme Duska a signifié que son organisation Human Rigth Watch fera un rapport sur ces dernières violences qui ont coûté la vie à cinq guinéens, de nombreux blessés graves, des biens détruits et des arrestations arbitraires.
Transmis par la Cellule de communication de l’UFR