« Les équipements qui sont installés là-bas, ne se voient nul part ailleurs, même dans certains musées en Europe », a martelé Oyé Guilavoqui.
«Le Ministère de la formation professionnelle et technique, à travers la direction de cette école m’a saisi pour les apporter les équipements débranchés à SOTEGUI, des équipements de deuxième génération, qu’on peut utiliser encore. Nous allons procéder à la remise de ces équipements».
Le Ministre, devant l’ampleur du déficit que cela représente en ce 21 eme siècle, a d’abord dit aux journalistes que cette école, qu’il qualifie de musée, pour la vétusté des équipements, ne relève pas de son département. « Il faut que j’apporte la précision, c’est une école qui relève de la formation professionnelle technique ».
Alors que dans les pays qui nous entourent comme au Sénégal, l’on parle désormais de Techniques de l’Information et de la Communication, en Guinée, ces techniques sont toujours Nouvelles : « NTIC ». Même le ministre les appelle Nouvelle Techniques de l’Information et de la Communication.
Et, c’est dans cet environnement et dans ces conditions de formation, qu’on demande à la jeunesse guinéenne d’être compétitive à l’échelle internationale, à cette ère du numérique.
Thierno Amadou Camara pour Guineematin.com