Expliquant les raisons de ce faible taux de scolarisation des jeunes filles à Télimélé, l’UNICEF a lié ce phénomène aux « mariages précoces, les travaux domestiques, la non compréhension des parents ». Mais, le facteur le plus important à souligner, précise l’organisation, reste la pauvreté qui empêche les parents d’assurer une éducation pour leurs enfants.
« Télimélé est une des préfectures qui affiche les indicateurs les plus faibles en matière de scolarisation de la jeune fille, donc acceptons d’envoyer nos filles à l’école pour leur assurer un avenir meilleur“, a déclaré Madina Bah représentante de l’UNICEF lors de la cérémonie de clôture du mois de l’enfant le 30 juin dernier à Télimélé.
Thierno Amadou Camara pour Guineematin.Com