Lisez ce qu’elle nous a confié !
« Nous avons décidé cette fois-ci de faire un setting devant le bureau des représentants des Nations unies, qui certainement nous aideront à remonter l’information jusqu’aux autorités en charge des droits de l’homme. Nous resterons ici pour exprimer notre colère à l’opinion internationale.
Si nous ne trouvons pas de suite, nous désirons passer à d’autres stratégies dans les jours à venir. Oui nous sommes entourées par des militaires, des gendarmes qui viennent voir s’il n’y a pas de débordement.
Nous avons appris que la Côte d’Ivoire aurait refusé de recevoir Dadis sur son territoire ».
Selon Madame Hélène, les forces de l’ordre procèdent à des interpellations. « Ils sont en train d’interpeller nos enfants dans les quartiers, mais nous irons jusqu’au bout », a-t-elle indiqué à la rédaction de Guineematin.
De n’Nzérékoré, Said Kourouma pour Guineematin. com