La grâce présidentielle accordée hier à 171 personnes dont des détenus politiques, notamment au premier vice-président de l’UFDG suscite beaucoup de commentaires et d’interprétations. Le débat est surtout animé sur ce qui est possible ou pas pour une personne graciée, au lieu d’être amnistiée. Pour mieux aborder cette question, Guineematin.com a consulté le juriste Mohamed Camara, ce vendredi 25 décembre 2015, lendemain de la publication du décret de grâce. …