Le décès de cette fille porte désormais le nombre de perte à quatre, si on tient compte des décès préalablement enregistrés dans la même famille (le 29 février, le 09 et 15 mars). Preuve, s’il en avait encore besoin, que nos autorités doivent agir pour éviter une nouvelle flambée.
La bonne nouvelle est que les populations de Koropara auraient finalement accepté de coopérer. Ce qui a permis d’installer une base vie dans la localité.
Seulement, la Coordination nationale de lutte contre Ebola et les autorités guinéennes n’ont toujours pas fait de communication sur ce nouveau développement…
A suivre