Pour Cellou Dalein cette question est réglée par la loi. « Il n’y a pas d’ambiguïté à cet égard. Lorsque son leader (UFR) est Haut représentant du chef de l’Etat, son chef de cabinet ministre de l’Elevage, est-ce que dans ces conditions on peut dire que l’UFR est de l’opposition ? », s’est interrogé Cellou Dalein.
Pour le chef de file de l’opposition, « c’est pour semer le désordre, avec la complicité de la CENI que l’UFR se réclame de l’opposition », a-t-il ajouté.
« La CENI a déjà tranché que l’UFR est de l’opposition, parce qu’elle dit que nous devons aller nous entendre avec l’UFR. Ces agissements font que souvent on a honte d’être guinéen ! Parce qu’on ne peut pas se comporter comme ça lorsqu’on a la responsabilité suprême des guinéens. C’est pourquoi nous avons dit à nos structures à la base qu’on ne peut pas donner de siège a l’UFR dans le quota de l’opposition », a précisé le chef de file de l’opposition, avant d’ajouter : « Si on fait un choix, il faut qu’on l’assume. Déjà avant, il y’a eu des discussions dans certains zones. La mouvance a donné des sièges à l’UFR dans son quota lui revenant dans certaines ville », a rappelé l’ancien premier ministre.
« Comme en Basse Guinée, la mouvance refuse de donner des places à l’UFR, il se réclame de l’opposition. Nous n’allons pas accepter cela et toute l’opposition est d’accord la dessus », a insisté Elhadj Cellou Dalein Diallo.
De retour du siège de l’UFDG Abdoulaye Oumou Sow pour Guineematin. Com
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