Pour sa part, quelque soit le numéro un entre les deux plus grands partis, l’UFR essaie toujours de garder la troisième place avec un total de 21 sièges (7 à Matoto, 7 à Matam, 5 à Kaloum, 2 à Ratoma et zéro à Dixinn). Et, les 46 places restantes ont été partagés entre les candidats indépendants et les autre partis politiques dont certains se sont avérés beaucoup plus petits qu’on ne pouvait imaginer avant le vote.
Ainsi, plusieurs Guinéens comprennent aujourd’hui la colère (légitime ?) du professeur Alpha Condé (président de la République et du RPG arc-en-ciel) qui se sent évidemment trompé par des marchands d’illusions qui lui faisaient croire qu’il était populaire dans une ville où les citoyens, dans leur écrasante majorité, désapprouvent sa gouvernance et se montrent chaque jours plus pressés que la veille de le voir finir son dernier mandat et, enfin, quitter la tête de la République de Guinée…
À suivre !