Cela fait plusieurs années que Mme Assiatou Barry, une Guinéenne résidant à Conakry, souffre d’une maladie du cœur. Le problème se manifeste à travers des problèmes respiratoires et des crises à répétition. La jeune femme de 24 ans a été hospitalisée plusieurs fois à Conakry, mais elle n’arrive toujours pas à voir le bout du tunnel.
« C’est mon cœur qui me fait mal, la respiration se bloque et je pique des crises. Selon les médecins, mon sang arrête de circuler au niveau du cœur, mais nous ne savons pas encore quelle en est la cause. C’est au cours des trois derniers mois que la situation s’est aggravée, mais la maladie a commencé il y a plusieurs années. J’ai eu un bébé qui est mort et ensuite, j’ai fait quatre fausses couches. Les médecins m’ont dit qu’il faut que je fasse une opération, sinon je ne pourrai plus faire d’enfants », a expliqué Mme Assiatou Barry, très affaiblie par la maladie.
Selon elle, les médecins lui ont fait savoir que l’intervention chirurgicale dont elle a besoin pour recouvrer sa santé ne peut pas se faire en Guinée. Il faut une évacuation sanitaire, dont le coût est insupportable pour sa famille. C’est pourquoi, la jeune femme sollicite un appui des bonnes volontés pour lui permettre de se soigner. « Je demande à tout le monde, tous ceux qui en ont la possibilité, de me venir en aide. Je demande à chacun de faire ce qu’il peut pour moi afin qu’on puisse sauver ma vie.
Je dois urgemment être évacuée soit au Sénégal, au Maroc ou en Tunisie pour subir une intervention chirurgicale. Les médecins nous ont dit que l’opération va coûter cent millions (100 000 000 GNF). Malheureusement, nous sommes une famille pauvre, donc nous ne pouvons pas avoir ce montant sans aide. Il y a des gens qui commencent déjà à m’assister petit à petit, je les remercie infiniment et je demande à tout le monde de m’aider », a-t-elle sollicité.
Pour toute aide ou pour des informations complémentaires, veuillez joindre Mme Assiatou Barry au 628 80 96 11. Ce numéro a également un compte Orange money actif.
Mamadou Yahya Petel Diallo pour Guineematin.com
