L’examen de sortie de l’enseignement technique et formation professionnelle a démarré hier, lundi 05 juin 2023 sur toute l’étendue du territoire national. Dans la Préfecture de Télimélé 112 candidats affrontent les épreuves de cet examen. Et, c’est le secrétaire général chargé des affaires administratives qui a présidé le lancement des premières épreuves à l’institut international de formation en santé de Télimélé, a constaté un des correspondants de Guineematin.com à Télimélé.
Après le lancement des premières épreuves, Mamadou Lamarana Bah, Directeur Général de l’institut international de formation en santé de Télimélé, a indiqué que les candidats sont bien prêts pour affronter l’examen.
« L’examen a bien débuté ici. Toutes les consignes données sont respectées par les candidats pour le bon déroulement de l’examen de sortie à Télimélé. Nous souhaitons et espérons avoir 100% d’amis pour cette 4ème promotion. Nous avons présenté 112 candidats répartis en trois filières qui sont : infirmiers d’états, Santé publique et Sages-femmes. L’effectif est majoritairement féminin, nous avons plus de 80 filles », a-t-il dit.
De son côté, Abdoulaye Sylla, délégué régional à Télimélé, a souligné le peu d’absence constaté lors de la première journée de cet examen de sortie session 2023.
« Ce premier jour s’est passé dans les meilleures conditions. Seulement nous avons constaté quelques absences aujourd’hui. Du côté de la filière sage-femme, il y a un absent ; et, la filière infirmier d’état, nous avons enregistré trois absents. L’examen théorique va se dérouler jusqu’au jeudi et on se repose pour deux jours. Le lundi nous allons recommencer avec la pratique », a-t-il indiqué.
Rencontré après le lancement de la première épreuve, Moussa Cissé, le secrétaire général chargé des affaires administratives de Télimélé, a demandé aux candidats d’éviter la fraude.
« Nous avons passé un message de sensibilisation et d’encouragement aux candidats et candidates pour qu’ils sachent que leur secteur est primordial et particulier. Ils ne sont ni enseignants, ni forgerons et non plus cultivateurs, mais plutôt des agents de santé appelés à sauver des vies des êtres humains. Nous leur avons demandé d’éviter la fraude. Pour cela, il faut que chacun puisse travailler avec sa valeur intrinsèque pour que s’il est crédité théoriquement, de façon pratique aussi qu’il soit le meilleur », a-t-il souligné.
De Télimélé, Ousmane Dieng pour Guineematin.com
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