La variole du singe ou le mpox est une maladie contagieuse qui continue de faire des victimes dans plusieurs pays, surtout en Afrique. En Guinée, l’Agence nationale de sécurité sanitaire (ANSS) qui veille sur la carte sanitaire du pays est catégorique. Aucun cas n’a été confirmé à date, mais la prudence est de mise. C’est du moins ce qu’a confirmé le centre d’information de l’ANSS, contacté au téléphone par un journaliste de Guineematin.com, ce mardi 27 août 2024.
« Nous tenons à vous dire qu’il n’y a aucun cas de la variole du singe en Guinée. Tous les jours, nous faisons le point de la situation. Nous y veillons là-dessus. Sur les 9 cas suspects, il n’y a aucun cas confirmé. Les résultats des analyses ont été négatifs », a soutenu l’agent au bout du fil.
A cette date, la Guinée a enregistré 9 cas suspects du mpox et aucun cas confirmé.
Cependant, selon la carte sanitaire de l’OMS, les pays comme la Côte d’Ivoire, le Libéria, le Nigéria, le Cameroun, le Congo, la RDC, le Gabon, le Burundi, le Rwanda, Kenya, la RCA et l’Afrique du Sud comptent des cas suspects ou confirmés en Afrique.
A rappelé que depuis le 16 août, l’Organisation mondiale de la santé a déclaré l’urgence de santé publique de portée internationale.
Selon les spécialistes, le mpox, autrefois connu sous le nom de variole du singe, est une infection virale étroitement liée à la variole. Les premiers symptômes comprennent de la fièvre, des maux de tête, un gonflement des ganglions lymphatiques et des douleurs musculaires. Une éruption cutanée typique suit, principalement sur le visage, les mains et les pieds.
Abdallah BALDE pour Guineematin.com
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