L’assemblée générale hebdomadaire de l’UPR a enregistré de nombreux nouveaux militants, notamment des jeunes venus de Bambéto, Hamdanlaye 1 et 2, Matam et de Lansanaya. Ils étaient au total 55 venus de différentes associations qui, par la voix de leurs portes paroles respectifs, ont exprimé leur engagement à soutenir le parti de Bah Ousmane.
Tour à tour, dans leurs différents discours, les nouveaux jeunes ‘’défenseurs’’ de l’UPR ont vanté les mérites de leur nouveau leader, notamment son humanisme et son ardent désir de préserver la paix et la cohésion entre toutes les ethnies de toutes les régions de notre pays.
Mamadou Djogo : « Nous sommes venus ici pour vous rassurer que nous sommes des jeunes porteurs d’espoir et non de d’espoir. Aujourd’hui, je suis frappé par une émotion et je pense que nous allons continuer le combat ensemble… ».
Dr. Tely Bah de Hamdanlaye 1: « Nous avons été les premiers à organiser un comité de soutien à l’honneur du président de l’UFDG. À cette époque, nous avions organisé un match de football à Taouyah. Aujourd’hui, nous sommes venus rejoindre les rangs de l’UPR. Bah Ousumane a été le premier ministre à se rendre dans mon village natal, à 65 kilomètres de Bouliwel (en brousse). Malgré tout ce qu’on dit de lui, il n’a jamais répondu par une agression. »
Lanciné Touré : « Notre mouvement, c’est Alpha n’noun Bah Ousmane Nn’an na bé. Nous soutenons le président Bah Ousmane et nous souhaitons le voir chez nous pour lui montrer que nous sommes plus nombreux. En voyant Bah Ousmane, c’est comme si c’est Alpha Condé. »
Abdoulaye Baldé, Bambéto : « En voyant vos actions sur la lutte contre la non violence, les jeunesses de Hamdanlaye 1, sont prêts à vous soutenir. Nous sollicitons votre aide pour amener la paix sur notre axe qu’on appelle l’axe du mal. Parce que qui parle de paix parle de développement ».
Hadja Rassy : »Je suis très touchée par les actes de Bah Ousmane. Il est entrain de nous aider pour que la violence quitte chez nous ? Que Dieu le paye pour cela. Des personnes qui ont été arrêtées chez nous à Bambéto, il les a tous libéré. Merci vraiment. Nous te soutenons ».
Fatoumata Keïta pour Guineematin.com
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