« C’est ici, à Hamdallaye pharmacie qu’ils se battent ! Les jeunes avec des cailloux et les gendarmes aussi ont des cailloux dans leurs casques et dans le camion « , a indiqué au téléphone Fatoumata Keïta, essoufflée et qui semblait chercher un abri. « Je dit que ça ne va pas du tout », ajoute la journaliste avant de saluer en langue locale des gens auxquels elle semblait demander un abri.
« Est-ce que tu entends ? Tu entends ça ? », demandait au téléphone de Guineematin.com un habitant de la zone qui a tenu à nous faire écouter les tirs dans le quartier. « Ils entrent dans les maisons et violentent les gens », a ajouté le jeune nouvellement marié…
A suivre !