Selon Sadou Keïta, la gestion des affaires religieuses est un cas particulier : « Moi, je ne peux pas gérer les affaires religieuses à la place des institutions installées à cet effet. Mais, je peux aller à l’apaisement, contribuer à ce que les parties se rapprochent pour qu’il n’y ait pas d’éclats qui pourraient nuire le fonctionnement de l’Etat et troubler l’ordre public. »
A ce jour, l’autorité régionale affirme avoir discuté avec toutes les parties : « Nous savons aujourd’hui les positions et les tendances. »
C’est pourquoi, le gouverneur de Labé qui- certainement, n’a pas osé exprimer ouvertement ses sentiments- sollicite maintenant l’implication du secrétaire général chargé des affaires religieuses, Elhadj Abdoulaye DIASSY, dans la recherche d’une solution durable et définitive.
Idrissa Sampiring DIALLO pour Guineematin.com