Dans son discours de circonstance, le président de l’UFDG a remercié les fédérations venues de l’intérieur pour leur soutien au parti dans l’épreuve qu’il vient de traverser. Mais, Cellou Dalein Diallo a enchaîné que ce que les gens ont appelé crise n’en est pas une : « Il n’y a pas de crise à l’UFDG », a-t-il lancé.
Parlant de la cherté de la vie qui frappe actuellement les Guinéens, le chef de l’opposition a dénoncé la gabegie financière qui en a été à la base et dit qu’on ne devait pas nous faire payer le prix de la mauvaise gouvernance.
Concernant le prix du carburant, Cellou Dalein Diallo a estimé que le gouvernement n’a pas raison de garder le même prix, alors qu’il a signé la flexibilité avec les syndicats. « Sur les 8 000 francs guinéens par litre, il y a 4 000 francs de taxes », a rappelé l’opposant, demandant à ses militants à se préparer pour le combat qui doit continuer pour la démocratie dans notre cher pays.
A suivre !
Du siège de l’UFDG, Mamadou Mouctar Barry et Abdoulaye Oumou Sow