Selon monsieur Ibrahima Sira Diakité, maire de la commune Urbaine de Mandiana, le plus grand problème de la commune, élargi à la préfecture, est l’absence d’un pont au fleuve Sankarani. A cela s’ajoute le manque de régularité du bac. « Avant, le bac travaillait les 12 Mois de l’année. Mais maintenant, avec la dégradation poussée de l’environnement, le bac travaille de Juin à Octobre. Le reste de l’année, c’est les pirogues à moteurs qui, très malheureusement, ne peuvent pas transporter les gros engins et lourds bagages », explique-t-il.
Par ailleurs, le maire ajoute que les autorités ont remonté l’information à la hiérarchie mais sans obtenir gain de cause.
A part cet enclavement, les autres difficultés qui assaillent la préfecture de Mandiana sont la finalisation des travaux de la grande mosquée et la résolution des conflits domaniaux au tour de mines.
Amadou Oury Souaré pour Guineematin.com
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