Pour planter le décor, c’est le recteur de ladite Université, Dr Facinet Condé qui a pris la parole pour dire que la question de respect des symboles de la République est fondamentale. « Il faut que les étudiants s’intéressent à cette problématique de respect de symbole de la République qui est fondamentale. Combien parmi nous ne savent pas chanter l’hymne nationale ? Combien ne connaissent pas la devise de notre pays ? » s’est-t-il interrogé avant de dire que ce genres de rencontre « amènera les jeunes que vous êtes à aimer davantage notre pays ».
« On n’a pas besoin de rappeler que le thème central de la SENACIP (Semaine Nationale de la Citoyenneté et de la Paix), deuxième édition 2017, était Le citoyen dans la construction de la nation. Nous avons estimé que malgré, il y a eu la clôture le 7 novembre dernier, il était important qu’on tienne cette conférence débat au tour de la problématique de la reconnaissance et du respect des symboles de l’Etat. Nous avons fait le constat en proposant ce projet au ministère de l’Unité Nationale et de la Citoyenneté. Aujourd’hui, nombreux sont les jeunes qui méconnaissent, qui ignorent carrément les symboles de la République qui sont pourtant des éléments qui identifient, qui assoient la personnalité, qui symbolisent donc notre Etat qui le différencient donc des autres Etats. C’est pourquoi, nous avons estimé que c’était important de venir dans un temple du savoir, dans une université pour faire face à ces étudiants qui incarnent l’avenir pour qu’ils s’approprient ses éléments, pour qu’ils s’imprègnent des éléments distinctifs de notre Etat. Les échanges ont été très fructueux, nous avons pu les emmener à comprendre et à reconnaitre ces symboles » a-t-il expliqué.
Par ailleurs, le directeur de Wassolon Agency Communication, a promis d’autres activités. «Notre plan d’action annuelle se repose sur la formation et sur les rencontres d’échanges et de partage sur un ensemble de problématiques qui touche notre jeunesse et notre nation. Nous comptons donc organiser plus des conférences débats dans un proche avenir dans les universités, dans les écoles, pour débattre des questions et des problématiques qui touchent l’Etat et la nation guinéenne » a-t-il promis.
Saidou Hady Diallo pour Guineematin.com
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