« Si vous ne faites pas ce que le peuple veut, il y aura beaucoup de morts et vous irez à la CPI », a fait remarquer celui justement contre lequel l’opposition guinéenne promet de mobiliser des foules à partir du 15 décembre prochain (dans 18 jours) si leurs revendications ne sont pas satisfaites. Justement, réagissant à ces menaces de l’opposition guinéenne, le président Condé a plus que banalisé, qualifiant ses adversaires de petites rigolos, des nains politiques, etc.
Vaccin contre Ebola, menaces de l’opposition de redescendre dans la rue :
Francophonie, attaques contre les opposants qualifiés de rigolos…
Gestion des dossiers miniers, la chute de Blaise Compaoré…
On m’a pas élu en Guinée pour que je m’occupe du Burkina :