Cette phrase qui s’est tenue dans les locaux de l’UGANC a connu la participation de trente deux spécialistes des questions environnementales issus des ONG et du milieu scientifique guinéen, grâce à la collaboration de RBG de Kew avec le financement de la Grande Bretagne, à travers son ambassade en Guinée.
Les objectifs de cette rencontre étaient entre autres : informer les participants sur la logique et la planification du projet Darwin ; améliorer la planification du projet, combler les lacunes et former la méthodologie du ZIP (zones d’importance pour plantes).
La fin de ces travaux de l’atelier de lancement du projet Darwin hier, jeudi 16 juin 2016, a été rehaussée de la présence de la ministre de l’Environnement et des eaux et forêts, l’ambassadrice de la Grande Bretagne en République de Guinée, des représentants du ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique et du recteur de l’université Gamal Abdel Nasser de Conakry.
Son excellence madame Catherine INGLEHEANE a, enfin, émis l’espoir que cette collaboration de recherche qui en sortira mène à l’identification des zones les plus importantes pour la conservation des espèces de plantes indigènes en Guinée.
Par ailleurs, madame Christine Sagno a lancé un appel à tous les participants de sensibiliser sans relâche les populations, les entreprises extractives, les guérisseurs, les agriculteurs et les éleveurs sur l’urgence de conserver les valeurs de la bio diversité pour réussir un développement durable de la Guinée.
Enfin, madame la ministre guinéenne de l’Environnement, des eaux et forêts a appelé à la promotion de la recherche scientifique et technique et la redynamisation de la coopération inter institutionnelle à travers l’élaboration et l’exécution des projets d’ordre national et international.
Mamadou Mouctar Barry pour Guineematin.com
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