Cette décision a été annoncée par le président du tribunal, monsieur Ibrahima Kalil Diakité, après avoir passé plus de quatre heures d’audience ; mais, à huit clos. Ce qui fait qu’on ignore les détails de cette surprenante affaire.
Ces derniers temps, plusieurs affaires de viol sont constatées ici à Conakry et dans l’arrière pays. Mais, dans beaucoup de famille, on hésite encore à faire le pas vers le tribunal pour éviter l’humiliation après l’acte. Certains précisent souvent que « de toutes les façons, l’eau versée ne se ramasse pas ». Mais, grâce aux efforts de certaines ONG, plusieurs Guinéens commencent à dénoncer les crimes sexuels…
Saidou Hady Diallo pour Guineematin.com