Mais, parlant des responsabilités, Cellou Dalein Diallo estime qu’elles sont partagées, précisant tout de même que la plus grande part revient à l’Etat. « Lorsqu’une zone est réservée ou à risque, il appartient à l’Etat d’informer puisque les citoyens n’ont pas toujours l’information. Ce sont souvent des analphabètes qui ne peuvent pas mesurer le risque. Il appartient donc à l’Etat de prendre la mesure du risque et d’interdire l’occupation des zones où la vie des citoyens peut être en danger », insiste le président de l’UFDG et chef de file de l’opposition guinéenne.
Ci-dessous et en vidéo, les propos des Cellou Dalein Diallo :