Selon Oumar Tounkara, un des responsables du SLECG, la délégation qu’il conduisit est venue, comme convenu, au ministère de la fonction publique. Mais, à sa grande surprise, il n’y avait personne. « Nous sommes restés un moment. Comme on a vu personne, nous sommes repartis », a expliqué le tonitruant syndicaliste.
Il ajoute, par ailleurs, que la balle est dans le camp d’en face et qu’ils sont ouverts au dialogue.
Pendant ce temps, les salles de classes ont été boudées par élèves et enseignants qui tiennent à leurs huit millions de francs guinéens par enseignant comme salaire mensuel.
Alpha Mamadou Diallo depuis Kaloum pour Guineematin.com