A en croire monsieur Damaro, l’achoppement est au niveau du respect de la loi. Parce qu’une disposition légale indique que les commissaires de la CENI ne devraient ni recevoir ni demander l’injonction des politiques y compris leurs structures d’origine, explique le représentant de la mouvance présidentielle. Alors, les politiques ne peuvent que « suggérer » à la CENI, ajoute monsieur Camara.
C’est ainsi qu’après sa plénière, « la CENI a trouvé des difficultés d’ordre technique et juridique d’annuler le chronogramme établi sur la base d’études sérieuses. Et, si elle devait l’annuler, elle devait avoir une indication de la périodicité des élections », a dit monsieur Damaro.
Guineematin.com vous propose, ci-dessous, la vidéo de cette intervention du président du groupe parlementaire du RPG arc-en-ciel et porte parole de la mouvance présidentielle :