Sommet Russie-Afrique : plus de 80 000 personnes, dont une vingtaine de Chefs d’État, attendues à Saint-Pétersbourg

Wafa Ben Mohamed, journaliste du Groupe de presse "Assabah" de la Tunisie

Plus de 80 000 personnes devraient prendre part au 2ème sommet Russie-Afrique, qui se tiendra les 27 au 28 juillet 2023, à Saint-Pétersbourg. Parmi les invités, il y aura une vingtaine de Chefs d’État et des responsables de l’Union africaine. Les activités ont débuté ce mercredi 26 juillet par une séance de travail entre les organisateurs et les journalistes venus de 27 pays sur le déroulement de l’événement.

S’en suivront une visite des monuments et sites touristiques de la ville de Saint-Pétersbourg et un briefing entre la presse et le chef adjoint de l’administration présidentielle et attaché de presse présidentiel, Dmitriy Peskov. Avant l’ouverture officielle du sommet, l’envoyé spécial de Guineematin.com à Saint-Pétersbourg a interrogé quelques journalistes venus couvrir cette rencontre sur leurs attentes.

Wafa Ben Mohamed, journaliste du Groupe de presse « Assabah » de la Tunisie

« Mes attentes, sincèrement, c’est d’améliorer la relation nécessairement économique entre les pays de l’Afrique et la Russie. C’est d’améliorer les accords, les relations et échanges économiques. Espérons bien que cet événement puisse être un bénéfice pour nous les pays de l’Afrique », a déclaré Wafa Ben Mohamed, journaliste du Groupe de presse « Assabah » de la Tunisie.

César Ebrokié, journaliste au quotidien Notre voie

Venu de Côte d’Ivoire, César Ebrokié, journaliste au quotidien « Notre voie », lui, attend des décisions pouvant permettre à l’Afrique de transformer localement ses produits agricoles. « Ce sommet est placé sous le sceau du renforcement de la coopération Russie-Afrique. Donc, on attend de voir les décisions qui seront prises dans le sens justement du renforcement de la coopération entre la Russie et les États africains.

En tant que journaliste, ce que je peux dire, c’est qu’aujourd’hui, dans le secteur industriel, notamment dans la transformation des matières premières, je pense que les États africains attendent un pont pour faire le pas du secteur primaire au secteur secondaire pour booster un peu le développement. Et donc, les décisions qui viendront dans ce sens, seront les bienvenues », a-t-il déclaré.

De Saint-Pétersbourg (Russie), Mohamed Guéasso DORÉ, envoyé spécial de Guineematin.com 

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