BBC Afrque : Le général Diendéré, président du Conseil National de la Démocratie (CND) estime qu’il est nécessaire que les différents corps de l’armée s’entretiennent. Il indique néanmoins que s’il devait s’en aller, il s’en irait, ajoutant toutefois « si je dois rester, je resterai ».« Nous n’avons pas envie de nous battre mais nous nous défendrons éventuellement », vient de déclaré le chef des putschistes dans un échange avec la presse au palais présidentiel à Ouagadougou. « Nous n’avons pas envie de verser du sang pour rester dans un pouvoir quelconque. Il ne sert à rien de verser du sang ou faire des massacres », et « je ne cherche pas à gagner du temps », a-t-il ajouté.
Gilbert Diendéré répond aux questions d’Hervé Yonkeu.
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