La salle de conférence du ministère de l’environnement et du développement durable a servi de cadre dans l’après-midi de ce mardi 12 septembre 2023 à la signature d’un protocole d’accord entre la direction nationale de l’assainissement et du cadre de vie dans le cadre de la gestion rationnelle des déchets alimentaires produits et des déchets commerciaux non chimiques.
Prenant la parole, Traoré Mory Fodé Saïdou, directeur national de l’assainissement et du cadre de vie a dit que la mise en oeuvre de ce protocole d’accord aura un impact positif dans le cadre de l’amélioration de la qualité du cadre vie.
« Ce protocole d’accord de partenariat s’inscrit dans le cadre de la gestion rationnelle des déchets alimentaires produits et des déchets commerciaux non chimiques. Et surtout dans le cadre des réformes enclenchées par madame la ministre de l’environnement et du développement durable pour un environnement saint et descent en matière de l’amélioration de la qualité du cadre de vie. C’est pourquoi, nous avons jugé nécessaire et utile de copter ce partenaire pour nous accompagner dans la mise en oeuvre de notre politique. La mise en oeuvre de ce protocole d’accord aura un impact positif dans le cadre de l’amélioration de la qualité du cadre vie parce que le stock des produits sera identifié et géré de façon rationnelle. Ça veut dire que les déchets alimentaires ou bien commerciaux ne vont plus se retrouver sur le marché public. Tous ces déchets seront identifiés et dénoncés par le GOHA international. Notre direction, en tenant compte de ses attributions viendra pour la gestion rationnelle de ces articles prohibés à la consommation », a-t-il indiqué.
De son côté, Chérif Mohamed Abdallah Haïdara, président du groupe organisé des hommes d’affaires (GOHA) international a fait savoir que cette activité va avec les objectifs de son organisation.
« C’est la direction nationale de l’assainissement et du cadre de vie. Ça va vraiment dans le sens du travail et des objectifs du GOHA international parce que si on n’a pas un bon environnement, un bon cadre de vie, on ne peut pas avoir la santé. Je pense que l’essentiel des opérateurs économiques va adhérer et accepter qu’on ait un bon environnement et un bon cadre de vie pour pouvoir continuer nos activités dans le respect, la dignité et la santé », a-t-il renchéri.
Que compte faire le GOHA international sur le terrain ?
« Sur le terrain, on va faire des formations et des sensibilisations des commerçants pour qu’ils sachent que cette direction n’est pas contre eux et qu’elle travaille pour leur intérêt parce que si vous achetez des produits périssables, ça peut vous faire perdre de l’argent et ce n’est pas bon pour la santé de la population. Si vous avez des produits comme ça, il faut les identifier et appeler le GOHA ou la direction pour s’en occuper dans la transparence la plus totale. Ça sera notre travail permanent sur le terrain. Ce contrat s’inscrit dans la durée. Tous les opérateurs économiques doivent adhérer à ça parce que c’est important et c’est bon pour nous », a expliqué le patron du GOHA international.
Cette cérémonie de signature a connu la présence du conseiller juridique de la ministre de l’environnement et du développement durable, de l’inspecteur général de l’environnement et de nombreux cadres du département.
La Cellule de communication du GOHA international
