Dans l’ombre de l’injustice, ton nom résonne comme un cri de résistance, une lumière vacillante dans l’obscurité de la censure. Ton combat, érigé sur les fondations de la vérité et de la liberté, ne passe pas inaperçu.
A la tête du Syndicat des Professionnels de la Presse de Guinée, SPPG, tu incarnes la voix intrépide qui refuse de se taire, même face à l’oppression qui obscurcit le ciel de l’information. Ton appel à la manifestation pour la liberté de la presse, malgré les fourches caudines d’un pouvoir ivre et implacable, continue de résonne comme une mélodie de courage dans un silence forcé.
Arrêté par des autorités sourdes à l’écho de la vérité, tu fais face à l’injustice avec une bravoure qui inspire. La maison centrale de Conakry devient le théâtre de ton engagement, où chaque barreau devient un trophée gagné pour la cause de la presse libre.
Pensées fraternelles envers toi, Sekou, et envers ceux qui partagent le fardeau de cette lutte. À ton épouse, à tes enfants, et à toute ta famille, nous envoyons des rivières de solidarité. Vous n’êtes pas seuls dans ce combat pour la vérité.
Ta ténacité résonne comme une convocation à l’unité, une invitation à tous les défenseurs de la libre expression. Ton nom est gravé dans le marbre de notre mémoire collective, et chaque plume, chaque caméra reste levée en ton honneur.
Sekou Jamal Pendessa, que le zéphyr de la liberté souffle bientôt sur les plaines de la Guinée, emportant avec lui les chaînes qui tentent de museler la voix de la vérité.
Avec respect et solidarité,
Notre Général, c’est toi !
Par Mohamed Mara, journaliste
