Le pavillon de l’Organisation internationale de la francophonie a servi de cadre le samedi dernier à la présentation d’actions en faveur du climat par des jeunes francophones. L’objectif pour ces jeunes est de trouver « des solutions climatiques » au phénomène.
Ils sont venus du Canada, de la France d’outre-mer, du Togo, de la Suisse, du Niger et de la Côte d’Ivoire. En parcourant ces milliers de kilomètres de leurs pays jusqu’ici à Bonn (Allemagne), ces jeunes avaient un objectif : présenter et partager avec les participants les actions qu’ils mènent au quotidien dans leurs pays respectifs, dans le but de lutter contre les changements climatiques.
Dans les interventions, les conférenciers ont tour à tour dit et montré, à l’aide d’images et de projections, ce qu’ils font.
En Nouvelle Calédonie par exemple, l’association dénommée e-pop différent du genre musical hip hop, conçoit et diffuse pour les habitants et ailleurs des spots assez courts mais illustratifs de la situation climatique et de la nécessité pour tous, dira la présentatrice, d’en faire autant. Avec l’association « jeunesse pour l’eau et le climat », du Canada, les actions sont orientées envers l’ensemble des parties prenantes, notamment les chercheurs qui doivent, selon l’orateur, accompagner les jeunes dans l’identification des projets.
Au Niger l’association « les jeunes volontaires pour l’environnement », qui a d’ailleurs une antenne en Guinée, œuvre pour la sensibilisation des communautés sur la problématique environnementale en général et aussi le climat.
En somme, ces jeunes pensent et disent agir pour l’environnement et le climat, car, a lancé un d’entre eux, « les jeunes sont la force et l’énergie, un couple indispensable pour engager notre planète vers un développement durable pour les générations présentes et futures ».
De Bonn (Allemagne), Idiatou CAMARA pour radio environnement Guinée et Guineematin.com
